Comité Technique du 3 février 2022
La crise issue de la pandémie a eu au moins une vertu : la reconnaissance « en mots » de l’engagement et des compétences des agentes et des agents de la Fonction publique.
Qui prétendrait aujourd’hui que les femmes et les hommes de l’hôpital public, celles et ceux de l’Éducation nationale, des services départementaux d’incendie et de secours perçoivent une juste rémunération ?
Et ce qui est vrai pour ces professions l’est également pour toutes celles qui œuvrent à l’intérêt général et à la protection des populations, qu’elles soient sur le devant de la scène médiatique ou non.
À l’heure où, de manière tout à fait légitime, le pouvoir d’achat est à nouveau la principale préoccupation de la population, les personnels des trois versants de la Fonction publique ne peuvent se contenter de discours louangeurs ou de mesures parcellaires. Pour exemple, la suspension du jour de carence, qui demeure applicable jusqu’à une date fixée par décret et au plus tard jusqu’au 31 décembre 2022, l’aide exceptionnelle « inflation » qui va être versée à certains agents sur la paie de janvier et février. Et que dire de la GIPA, aumône versée aux agents qui ont déjà atteint depuis trop longtemps l’indice terminal de leur grade ?
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